Sally Elizabeth TYLER

1996-2000 University of Kent: BSc. en psychologie avec prix de psychologie clinique 2:1

2002-2004 : Christchurch University at Canterbury: Statut d'enseignant qualifié (QTS) conféré par le Conseil général de l'enseignement

2006 : Collège universitaire Christ Church Canterbury; Certificat d'études supérieures en éducation (spécialité scientifique PGCE)

2010 : University of Kent: Master of Science en psychologie cognitive et neuropsychologie

2012 : London Metropolitan University; Certificat d'enseignement des compétences d'étude spécialisées de niveau 5 pour adultes en FE (entrainment continue) et HE (l'enseignement supérieur) avec dyslexie, dyspraxie et autres difficultés d'apprentissage spécifiques

2013 : London Metropolitan University; Diplôme de niveau 7 en évaluation des difficultés d'apprentissage spécifiques

  2014 – 2016  : Tuteur spécialisé en soutien SpLD dyslexie, dyspraxie et autres difficultés                      d'apprentissage spécifiques) Christ Church University College Kent:

 2010 - 2014 : Tuteur spécialisé en soutien et évaluateur des besoins éducatifs particuliers University of Kent

2009 -10 : University of Kent; Facilitateur de soutien spécialisé

 2005 - 2016 : Évaluateur des besoins éducatifs particuliers -Open University Access Centre, Milton        Keynes et Camden Centre, Londres

 2004 - 2009 : Évaluateur des besoins éducatifs particuliers pour Iona Assessment Centre, Kent

 2010 : Washtenaw County Literacy Scheme, Ann Arbor Michigan Etats-Unis; Diplôme de tuteur en alphabétisation pour adultes analphabètes

Retraitée, je vis en France depuis 2018, avant que le Brexit ne rende les choses plus difficiles. Depuis, j'apprécie la vie dans cette région, m'imprégner de la culture et profiter du beau temps. J'ai étudié le français à l'école jusqu'au niveau avancé et j'ai suivi des cours pendant 3 ans ici à Uzès jusqu'à l'épidémie de Covid. Je m'entraîne à parler français dès que je le peux et j'utilise une application, Duolingo, tous les jours. Cela a un parti pris américain qui peut parfois être difficile à suivre. J’ai trouvé qu’Il était facile de se lier d'amitié avec des anglophones et plus difficile avec des francophones même si, avec le temps, je commence à m'y faire. J'en suis très contente. Avant de déménager dans cette région, je ne savais pas qu'il y aurait autant étrangers vivant ici.

Quand j'étais jeune maman de quatre enfants, je passais toujours des vacances en France quand j'en avais les moyens. Nous sommes allés dans la Loire, où il pleuvait souvent. Nous sommes aussi allés en Bretagne car ce n'était pas très loin. Je ne connaissais pas le Gard jusqu'à ce que je rencontre mon mari actuel qui vient ici depuis les années 1970, avant même que la Place aux Herbes ne soit pavée ! Il m'a raconté comment Terroirs a été la première entreprise à mettre des tables sur la place, soulevant une farouche opposition au début !

J'ai vécu dans le sud de l'Angleterre et mon accent est donc standard et assez facile pour les personnes habituées à regarder des films ou des programmes télévisés britanniques. Je m'intéresse beaucoup aux gens, c'est pourquoi j'ai étudié la psychologie. Je m'intéresse à beaucoup de choses dont j'aimerais discuter avec les étudiants : la politique, les films, attitudes envers la nourriture et l'alimentation, les services de santé et la culture en général (pas nécessairement dans cet ordre d'importance). Je suis très intéressée par les différences entre les cultures française, britannique et aussi la culture nord-américaine, qui est encore différente.

Je souhaite poursuivre mon intégration, me rendre utile dans une activité ayant du sens, et je pense que travailler avec l'Université populaire m'aidera dans ce sens. Je suis sûre que notre relation serait mutuellement enrichissante.

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